Cliquez ici >>> 🌔 pire que le bruit des bottes le silence des pantoufles

Lesilence des pantoufles est plus dangereux que le bruit des bottes . Par Martin Niemöller . Une minute de réflexion sur l’état du monde et notre passivité pacifiste Un homme dont la famille faisait partie de l'aristocratie allemande, avant la seconde guerre mondiale, possédait un certain nombre de grandes usines et de propriétés. Quand on lui demandait combien d'allemands C'est moins le bruit des bottes qu'il nous faut craindre aujourd'hui que le silence des pantoufles" Robert Dehoux (1925-2008) Contacter l'auteur; Envoyer à un ami; S'abonner; Le silence, Madame ! Le silence, Madame ! > Messages février 2009 > "C'est moins le bruit des bottes qu'il nous . 16 février 2009 "C'est moins le bruit des bottes qu'il nous faut craindre Hierfindet ihr alle Krieger Items aus dem Sammelalbum von Shakes und Fidget mit Bildern. Le silence des pantoufles est plus dangereux que le bruit des bottes »Martin Niemöller (1892-1984) J ’ai eu la chance d’assister à Châteauvallon au spectacle de Philippe Torreton, La Résistible ascension d’Arturo Ui de Bertold Brecht. Leproblème étant que même par nos actes apparemment anodins de notre vie quotidienne nous pouvons 2. 1. Jean-Marc Le Roy d'Amigny “Pire que le bruit des bottes, est le silence des pantoufles !” (pas sûr de qui) Le silence des pantoufles. Merci Emmanuelle Germond pour ce partage. medium.com. More from Pascal Kotté Pourquoi Mon Copain Va Sur Des Sites De Rencontre. Par Philippe Marchal, Directeur adjoint des Territoires de la 25 années d’existence, la transmission de la mémoire a considérablement évolué et cette dynamique influence quotidiennement les missions et le travail des Territoires de la Mémoire. L’impulsion d’une véritable politique mémorielle n’est pas étrangère à cette évolution. En mars 2009, le Ministère de la Communauté française publiait un décret relatif à la transmission de la mémoire des crimes de génocide, des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre et des faits de résistance ou des mouvements ayant résisté aux régimes qui ont suscité ces crimes. Ce texte, très éloigné d’une loi mémorielle de plus – portant en elle une possible instrumentalisation de la mémoire à des fins politique –, organise surtout le soutien à des initiatives ponctuelles ou pérennes qui, par la valorisation de la transmission de la mémoire de certains évènements notamment politiques et sociaux tragiques de l’histoire, favorisent, principalement auprès des jeunes générations, la réflexion critique, le développement d’une citoyenneté responsable et la promotion des valeurs démocratiques. Pour examiner la qualité et la pertinence de ces initiatives, un Conseil pluriel de la transmission est créé. La coordination pédagogique Démocratie ou barbarie » l’administre. Développement de l’esprit critique des plus jeunes, éducation à une citoyenneté responsable, promotions des valeurs démocratiques… on voit se profiler dans ces intentions les lignes essentielles que les Territoires de la Mémoire contribuent à rendre opérationnelles. L’originalité de ce décret, c’est la proximité avec celui sur l’Éducation permanente destiné à un public adulte et en particulier dans ses accents philosophiques et dans ses intentions. Lors de la création de l’association en 1993 et durant les années qui ont suivi, il était surtout question de mettre en œuvre le devoir de mémoire »… une sorte d’obligation morale de se souvenir trop souvent mal interprétée et assez restrictive. Les rescapés des camps nazis qui entouraient le Centre d’Action Laïque de la Province de Liège pensaient que la seule évocation du passé suffisait à une prise de conscience durable des jeunes générations. Raconter l’histoire, rappeler sans cesse ce qui s’était passé dans les années trente et pas seulement en Allemagne, et dans ce contexte, souligner les dangers des idéologies haineuses et extrémistes, du racisme, de l’antisémitisme, de l’homophobie,… cela devait bien suffire pour ne plus devoir revivre l’horreur, les guerres et les massacres de masse. Et il faut, c’est évident, rendre hommage à ces passeurs de mémoire » de la première heure sans qui nous ne serions probablement pas aussi libres aujourd’hui. Ceux-là connaissaient le prix de la liberté et la chance de vivre dans un pays fondé sur les valeurs de la démocratie. Pendant de longues années, la transmission mémorielle s’est limitée au rappel des faits quitte à lasser. Au sein même des programmes scolaires, l’enseignement se limitait souvent à la transmission de connaissances en faisant fi, le plus souvent, de la complexité contextuelle. Pourtant, ces passeurs de mémoire l’avaient pressenti. En créant un centre d’Éducation à la Résistance et à la Tolérance, nos fondateurs avaient compris toute l’importance de la pédagogie et du développement de l’esprit critique en matière de transmission mémorielle… car si la connaissance n’est pas tout, elle reste indispensable pour faire prendre conscience de tous ces inacceptables que nous ne sommes plus en mesure de comprendre ou d’en mesurer les conséquences toujours dramatiques. À l’époque, on parlait même du devoir d’effroi ! Mais de quelles vertus l’effroi serait-il pourvu lorsque nous sommes confrontés quotidiennement à la violence et à la brutalité ? Aujourd’hui, l’horreur est devenue presque banale et un phénomène d’accoutumance nous rend un peu plus chaque jour, imperméables et sourds ! Dans la foulée du décret Mémoire, notre association a fait le choix d’associer Mémoire et Citoyenneté. Bien sûr, nous savons que tous les faits historiques quels qu’ils soient, sont uniques et singuliers. Dans ce contexte et s’agissant particulièrement du second conflit mondial armé, le travail des historiens et la rigueur avec laquelle ils analysent les événements sont indispensables pour ne pas exposer nos pratiques aux négationnistes et à tous ceux qui tentent de minimiser cette catastrophe humaine dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences. Notre société traverse une crise profonde et le monde qui nous entoure bascule. Chacun s’accorde sur le constat nous vivons aujourd’hui dans un environnement où l’ensemble des valeurs qui nous rassemblent sont fragilisées et dans lequel nos prétendues » certitudes sont quotidiennement remises en questions. L’insouciance a progressivement cédé la place au sentiment de peur et certains signes sont de plus en plus inquiétants pour notre avenir. Décidément, les femmes et les hommes, partout en Europe et dans le monde, ne sont pas capables de tirer les enseignements du passé, contrairement à nos belles déclarations et à nos généreux slogans ! Heureusement, nous disposons de deux outils puissants qui s’appellent résistance et éducation résister à la poussée des idées liberticides et éduquer pour équiper chacune et chacun à prendre en toute autonomie la responsabilité qu’il convient d’assumer. Individuellement et collectivement. Ces deux missions nous conduisent à mettre en œuvre une stratégie qui porte une attention particulière à l’intérêt de la chose publique, au bien commun, pour faire barrage à cette vague effrayante fondée sur l’égoïsme, l’indifférence et l’exploitation qui sapent notre démocratie et aggravent notre sentiment d’impuissance. Aujourd’hui, l’association inscrit ses actions dans la visée éducative d’une citoyenneté qu’il est utile de qualifier pour en dessiner les contours sans ambiguïté critique, démocratique et active. Il est possible et souhaitable d’examiner les événements passés à la lumière du présent, de dégager des permanences » sur des faits qui n’ont souvent aucun lien évident entre eux et d’être capable de décoder les mécanismes qui les ont générés. En parlant de travail de mémoire », nous conjuguons travail d’Histoire, devoir de mémoire et éducation à la citoyenneté, nous faisons appel à l’émotion, nous proposons des voies plurielles pour mobiliser les sensibilités du plus grand nombre, nous encourageons toutes les initiatives citoyennes capables de construire un meilleur vivre ensemble » et nous lançons de larges campagnes autour de la symbolique du Triangle rouge pour bien montrer que ce qui est arrivé un jour, pourrait recommencer… pour paraphraser Primo Levi. A contrario, les Territoires de la Mémoire sont convaincus que la transmission d’un traumatisme ne participe pas d’une pédagogie émancipatrice car le traumatisme a une trop forte portée émotionnelle et le danger est qu’il nous entraîne dans une incapacité de répondre de façon utile ou jugée comme adéquate. Le travail de mémoire s’inscrit donc dans une démarche qui se veut laïque c’est-à-dire fondée sur des choix personnels et le libre-examen et non sur l’idée qu’une faute morale irréparable » suffit à ce que l’horreur ne se répète plus jamais. Il n’y a pas d’avenir sans mémoire et la connaissance du passé permet de construire sa propre identité. Encore convient-il de faire interagir ces deux pôles très complémentaires. Sans cette interdépendance, serions-nous encore capables de nous indigner, de résister et finalement de s’engager pour demain Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles ! » Max Frisch 14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 1726 Avant d'arriver à Tambacounda, terme de mon voyage, je vous propose une petite légende qui vous fera délicieusement frémir... La légende du Ninki-Nanka Le Fleuve Gambie irriguant la région de Tambacounda est associée à l’affaire de la mystérieuse carcasse marine surnommée Gambo ». Mais Gambo » masque depuis vingt ans une autre énigme bien plus ancienne celle du Ninki-Nanka. La tradition du Ninki-Nanka semble être depuis longtemps enracinée dans les populations vivant le long du fleuve Gambie et ce jusque dans le massif du Fouta-Djallon dans l’actuelle Guinée où il prend sa source. Ce nom et quelques autres comme Niniganne ou Ninger y désigne une sorte de serpent aquatique géant fabuleux possédant des pouvoirs surnaturels et appartenant au panthéon animiste local. C’est en 1944 que paraissent les deux premiers articles à évoquer le Ninki-Nanka. African Pterodactyls » de Jeffries, portant essentiellement sur les histoires de monstres volants du continent noir, ne lui accorde que quelques lignes au passage en se demandant comment un tel animal, s’il existe, se débrouille pour ne laisser aucune trace sur les berges du fleuve qu’il est censé visiter de temps à autres. Le second, Notes sur le génie des eaux en Guinée » de Béatrice Appia, fait quant à lui le point sur les traditions concernant ce reptile géant que nombre de tribus affublent en outre d’une corne de diamant sur la tête et qu’ils accusent de se glisser à terre pour y commettre des dégâts à l’occasion des pluies torrentielles. Alors, légende ou pas légende ? Les avis semblent très partagés aujourd’hui mais quelques témoignages pourraient cependant suggérer l’existence d’animaux inconnus au sein d’une nature exubérante de type mangrove marécageuse dans laquelle ils n’auraient aucun mal à se cacher. En attendant, le monstre » commence à devenir une véritable attraction connue à l’étranger. Des bijoux sont réalisés à son effigie et on voit les vacanciers scruter les eaux du fleuve Gambie en espérant l’apercevoir comme tant d’autres le font pour Nessie à des milliers de km de là en Écosse… La Gambie dans la réserve du Niokolo Koba où nous allons nous rendre. Published by Dominique BAUMONT - dans VOYAGE Ils sont là, mais personne ne les voit. Personne ne les entend. Invisibles, inaudibles, et muets. Elle avait peut-être raison la Marine, elle représente bien la France des invisibles. Mais ses invisibles à elle, ils ne sont pas de ceux qu’on tait parce qu’ils seraient une menace pour l’ordre établi, ils sont de ceux qui se cachent. Et s’ils se cachent, c’est qu’ils pètent de trouille. Trouille qu’on attente à leur petit confort merdique. Trouille qu’on touche à leur maison, à leur chien, à leur fric. Trouille d’avoir des idées. Tellement morts de trouille, ils sont, qu’ils n’arrivent même pas à ouvrir la bouche pour affirmer haut et fort leurs votes dégueulasses. Une fois de temps en temps, quand même, c’est le grand frisson. Ils sortent de chez eux pour aller autre part que les magasins dégueus de la zone industrielle du coin. Ils vont au bureau de vote, mettre leur merde dans l’urne. Et puis ils rentrent à la maison, juste à temps pour la rediff de D&co, avec l’impression d’avoir vécu un moment intense de contestation. James Stewart dans Fenêtre sur cour, d’Alfred Hitchcock Ah ça ! Elle est belle leur contestation ! La contestation à peu de frais, la contestation à visage masqué, la contestation sans risques. Celle des dénonciations anonymes, celle qui épie la rue à travers ses rideaux fermés, celle des collabos et des pétochards. La voilà, la contestation de la France du Front National ! A l’heure où on aurait aimé célébrer la fierté retrouvée de la gauche rebelle, il faut encore supporter leurs pleurs et leurs gémissements, à ces gens qui s’inventent des menaces et qui viennent nous gâcher la fête, sans avoir jamais pris la mesure de leur comportement immonde et des conséquences qui les attendraient en cas de victoire de leur Kandidate. Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles », écrivait Max Frisch en 1958. Putain, qu’est-ce qu’on aimerait lui donner tort ! Un bon texte sur Lupus. J’apprécie la mise en cause de la masse , indifférente parfaitement résumée par la petite phrase Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles ! Trop de lâches dans ce pays ? Par Claude Janvier Note je ne partage pas les illustrations, malgré mon penchant pour l’expressionnisme. Trop de lâches dans ce pays ? La corvée est enfin terminée. Vous venez de voter pour les Européennes 2019. Le même cirque vous sera proposé pour les municipales en 2020. D’ici là, dormez tranquilles braves gens, La Dictature En Marche veille sur vous. LDEM Rappel de quelques chiffres – RN 23,7 % – LREM 22,4 % – Abstentionnistes 49,9 % LREM est second derrière le RN. Et en totalisant les abstentionnistes – 49, 9% – , le RN – 23,3 % – , et les autres, nous obtenons un total de 77,6 % qui ont refusé de voter pour Macron et son parti. Désaveu énorme, même si sa porte-parole affirme le contraire. Les médias se gaussent d’une participation électorale en hausse, mais il y a quand même, 49,9 % d’abstentionnistes. Bien loin d’être neutre ! Nonobstant ces chiffres, j’ai poussé l’analyse un peu plus loin. Grâce à un article très pertinent de Jean-Loup Izambert et je cite, la vérité est ailleurs » … L’Histoire en témoigne résister n’est pas votre fort. L’occupation, aujourd’hui, du Capital de vos entreprises par la grande finance spéculative, principalement anglo-saxonne, dans les sociétés de bourse avec les conséquences qui en résultent pour la santé du pays vous laisse à peu près aussi indifférents que celle, hier, de votre pays par le Reich allemand. » » Pire que le bruit de bottes, le silence des pantoufles Parmi les posts et phrases de comptoir qui poussent autour des résultats électoraux les plus troublants, et ce le plus ouvertement aujourd’hui avec les réseaux sociaux, celle-ci a fait du chemin. Reformulée par le suisse allemand Max Frisch à la fin des années 50, à partir d’un texte de son compatriote Martin NIEMÖLLER 1892-1984, pasteur résistant au nazisme, rescapé des camps de concentration. , on retrouve cette citation sur un grand nombre de sites et de blogs d’extrême droite racistes, des sites sionistes, ou encore celui islamisant de Tariq Ramadan. De manière plus respectacle, ces derniers jours c’est Edwy Plennel qui la reprenait dans Mediapart. Sans vouloir ici donner de leçon, gardons-en sa portée essentielle, son fond citoyen, avant d’aller user au mieux de notre liberté d’expression, et de notre droit de vote Dimanche. Pour beaucoup d’entre-nous ce vote se fera par défaut, à contre-coeur, mais il doit se faire. Avec peut-être en fond cette phrase pour consolation. En attendant une nouvelle forme de république… voir aussi au coin du comptoir Articles similaires

pire que le bruit des bottes le silence des pantoufles